Description
C’est à partir de ce Concerto pour piano de 1938 (alors l’imposé du Concours Eugène Ysaÿe) que Jean Absil va connaître une réputation internationale et développer un art dont le climat poétique évolue de l’esprit d’Alban Berg à celui de Maurice Ravel : en artiste indépendant et solitaire, il paraît avoir été insensible au développement de la musique contemporaine, afin probablement de mieux préserver l’équilibre propre d’un langage cohérent et personnel, tout de clarté et de subtilités tonales.
Les chefs d’orchestre belges qui dirigent ces œuvres sont parmi les importants que la Belgique ait connus : ils ont pour nom Fernand Quinet, Daniel Sternefeld et René Defossez, trois personnalités puissantes, par ailleurs également excellents compositeurs, et qui sont en parfaite communion avec l’œuvre de Jean Absil.
- Concerto pour piano op. 30 (1938)
- Andante (Hommage à Lekeu - 1939)
- Sérénade en cinq mouvements op. 44 (1940)
- Symphonie n°2 op. 25 (1936)
S. M., De Morgen –
« De werken die Absil voor de Tweede Wereldoorlog schreef blijken de tijd goed getrotseerd te hebben ; met name het korte andante en de tweede symfonie bieden zeer goed gekonstrueerde en soms zelfs gepassioneerde muziek. »