Félix Godefroid

Œuvres pour harpe - œuvres pour piano

16,00

1CD

Sophie Hallynck – Harpe Erard
Sylvia Bernier – Piano Erard

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REF MEW0637 Categories,

Description

Né à Namur en 1818, le harpiste Félix Godefroid obtient un succès retentissant à Paris dans les années 1840. Son immense talent permet de rendre ses lettres de noblesse à un instrument quelque peu éclipsé par le piano. Mieux que quiconque, il a su comprendre la harpe, mettant en valeur ses belles qualités de finesse et de sonorité. Vers 1850, il entame la publication d’œuvres pour piano. A ses yeux, la rivalité entre les deux instruments est sans objet : « c’est le jour et la nuit ! ». C’est avant tout dans des pièces qui relèvent de la musique de salon que s’illustre Godefroid : dimensions réduites, côté pittoresque, élégance mélodique et délicate harmonie.

  1. La sérénade
  2. Duet for Harp, and Piano Forte, on Airs from Verdi’s Operas
  3. La danse des sylphes
  4. Les adieux
  5. Pacini, Niobé
  6. Deuxième mosaïque pour la harpe sur les principaux motifs de Norma de Bellini
  7. Le chant des mages
  8. Le réveil des fées
  9. Chanson bohémienne
  10. Le désir
  11. La harpe éolienne
  12. Etude de concert en mi bémol mineur
  13. Tristezza
  14. Cantilène
  15. La pathétique
  16. Bois solitaire
  17. Le rouet de Marguerite
  18. Les voix de la nuit

Informations complémentaires

Poids 140 g
Dimensions 12 × 12 cm

1 avis pour Félix Godefroid

  1. Michel Debrocq, Le Soir

    « Berlioz lui-même saluera en Félix Godefroid un « maître absolu de son instrument« , dont il est parvenu à mettre en valeur toutes les qualités de timbre et d’expression.
    Ce CD en témoigne à merveille, à travers des pièces où transparaît toute la versatilité du goût de l’époque, où l’on passait aisément de la musique de salon à la musique symboliste. Et Godefroid s’est remarquablement adapté à l’évolution stylistique de la fin du XIXe, s’ouvrant volontiers à toutes les innovations de couleurs et de timbres qui ont été celles de Debussy. Sophie Hallynck nous plonge dans cette atmosphère chamarrée à l’aide d’une très belle harpe Erard de 1930, dont elle joue avec autant de précision que de raffinement. Mais Félix Godefroid n’avait pas abandonné le piano : on en jugera à travers les œuvres réunies ici par Sylvia Bernier, qui joue sur un Erard de 1875. »

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