Gilles Binchois

Chansons, Missa Ferialis, Magnificat

16,00

1CD

Clemencic Consort

René Clemencic – direction

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Description

Gilles Binchois est né dans le Hainaut aux alentours de 1400. Organiste à Sainte-Waudru dès 1419, le jeune compositeur aurait été au service du duc de Suffolk, avant de déposer les armes pour intégrer, à la fin des années 1420, la chapelle des ducs de Bourgogne. La réputation de Binchois est, au XVe et encore au XVIe siécles, de très vaste étendue. Son nom est souvent associé à celui de ses contemporains, Guillaume Dufay et John Dunstable. Cependant lorsque le Clementic Consort enregistre ce disque consacré au compositeur en 1979, personne n’a encore proposé de programme centré sur Binchois. Clemencic, accompagné de jeunes chanteurs amenés à jouir d’une renommée internationale, avait compris très tôt que le talent de Binchois dépassait la sphère profane. En effet, au delà des chansons présentées sur cet enregistrement, La Missa ferialis et le Magnificat permettent ici de mesurer la diversité du langage musical de Gilles de Bins.

  1. "Mon cuer chante"
  2. "Triste plaisir"
  3. "Amoreux suy"
  4. "Dueil Angoisseux"
  5. "Joyeux penser"
  6. "De plus en plus"
  7. "C’est assez"
  8. "Files à marier"
  9. "Jeloymors"
  10. Missa ferialis : Kyrie
  11. Gloria
  12. Sanctus/Benedictus
  13. Agnus dei
  14. Magnificat
  15. "Adieu, adieu"

Informations complémentaires

Poids 140 g
Dimensions 12 × 12 cm

3 avis pour Gilles Binchois

  1. Maricarmen Gómez, Goldberg

    « René Clemencic fue el primero en dedicarun trabajo monografico a Binchois, un merito indiscutible habida cuenta de que a fines de los años sólo se disponia de una regular edición critica de sus canciones y de ninguna de su repertorio sacro. No obstante, supo seleccionar para la grabación diez de sus mejores canciones e incluso se atrevió a recrear una Misa uniendo cuatro fragmentos polifónicos del Ordinario atribuidos al autor. »

  2. Didier Chatelle, L’Écho

    « Je me doute que quelques-uns seront tentés de faire la fine bouche : en 1979, le Clemencic Consort était loin d’avoir acquis des baroqueux d’aujourd’hui… Mieux, ou pire, ces pionniers n’avaient pas même à leur disposition d’édition fiable de la dizaine de chansons qu’ils se proposaient de nous faire découvrir, pas plus que d’une hypothétique sinon imaginaire Missa ferialis exhumée dans la foulée. Il n’empêche, outre que ces aventuriers partis un jour à la recherche du son perdu ne manquaient ni d’audace, ni d’intuition, ni d’imagination, il y a quelque chose de très émouvant à se remettre dans l’oreille, pas loin d’un quart de siècle après sa première publication en microsillon, une gravure qui conserve bien des attraits. »

  3. Jacques Amblard, Le Monde de la Musique

    « On a plaisir à entendre, dans cet univers encore médiéval dans ses cadences (qui rappellent Machaut, en plus orné et plus rapide), ses fins obligatoires sur la quinte à vide, son emploi du « hoquet » (deux voix à contre-temps) et, à en croire Clemencic, ses percussions furieuses, et au sein de tout cela poindre la vraie grande invention de la Renaissance : l’imitation (principe de la philosophie antique alors redécouverte). »

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