Troisième et dernière symphonie de Jean Rogister, cette Symphonie pour quatuor à cordes solo et grand orchestre présente une forme assez peu commune qui la rapproche sensiblement d’un Concerto grosso de grande envergure. Le quatuor à cordes concertino tantôt dialogue, tantôt s’oppose à un ripieno particulièrement imposant, de quatre-vingts musiciens. La difficulté d’une telle forme réside essentiellement dans son équilibre sonore. À vous de vous faire une idée sur l’équilibre trouvé par le Quatuor Brahms et l’Orchestre Symphonique de la RTBF…