Joseph Gehot

Duos - Trios - Quatuors à cordes

16,00

1CD

The Smithson String Quartet

Jaap Schröder – violon
Jorie Garrigue – violon
David Cerutti – alto
Kenneth Slowik – violoncelle

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REF 3-1558-2 Categories,

Description

La musique de chambre de Joseph Gehot est, sans doute, celle d’un petit maître. Elle est en tout cas caractéristique du moment de flottement existant entre les premières œuvres de Haydn et celles de Mozart. Le genre est alors un champ d’exploration formelle où se rencontrent les influences d’Italie du Nord, de Mannheim, de Vienne et de Paris. Cela étant, ces essais ont retrouvé aujourd’hui tout intérêt.
La veine de Gehot est plutôt légère et colorée, dégagée des angoisses des préromantiques. Les échos de Boccherini et Sammartini y sont imprégnés d’effluves viennoises, sans compter l’évidente influence de Johann Christian Bach ; c’est un mélange plus qu’une synthèse, mais un mélange fort agréable.

  1. Quatuor à cordes, Op. I n°4 en ré majeur
  2. Trio, Op. I n°2 en sol majeur
  3. Quatuor à cordes, Op. VII n°6 en ré majeur
  4. Duo, Op. IX n°6 en mi bémol majeur
  5. Quatuor à cordes, Op. I n°2 en sol majeur
  6. Trio, Op. V n°3 en ré majeur
  7. Quatuor à cordes, Op. VII n°4 en la majeur

Informations complémentaires

Poids 140 g
Dimensions 12 × 12 cm

2 avis pour Joseph Gehot

  1. Norbert Graindorge, La Libre Belgique

    « La musique, toute de fraîcheur, de Joseph Gehot est une redécouverte. Pour rendre justice à ce répertoire, Musique en Wallonie a confié son exécution à l’une des meilleures formations de musique ancienne des États-Unis : le quatuor Smithson. »

  2. Jean Dupart, Arts et Métiers Magazine

    « Quatre partitions des plus séduisantes, qui rappellent celles de Chevalier de Saint-Georges plus que les chefs-d’œuvre infiniment plus complexe des, ambitieux et profonds de Haydn et de Mozart. À ces Quatuors, légers si l’on veut, mais soigneusement écrits et mélodiquement très inspirés, sont associés, ici, deux Trios à cordes et un Duo violon-violoncelle que les grands Viennois du temps auraient pu signer sans rougir ! »

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