Lucienne Delvaux

Airs - Mélodies - Oratorios

18,00

2CD

Lucienne Delvaux – Mezzo-soprano et contralto

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Description

Après des débuts à l’Opéra de Gand en 1947, Lucienne Delvaux fit surtout carrière en France, en Afrique du Nord, aux Pays-Bas et en Belgique. Elle fut une Dalila inoubliable à l’Opéra de Paris et était recherchée pour ses interprétations de Carmen et d’Ortrude. Malgré une voix somptueuse et phonogénique, Lucienne Delvaux n’enregistra aucun disque en solo mais eut par contre une intense activité radiophonique. Ce double CD de Musique en Wallonie rend hommage à l’art exceptionnel de Lucienne Delvaux en publiant une sélection d’airs et de mélodies représentatives de sa carrière, enregistrées à la radio dans les années ’50 et ’60.

  1. BIZET, Carmen : airs et duo final (Hilversum, 1953)
  2. SAINT-SAËNS, Samson et Dalila : airs et final de l’acte II (Hilversum, 1951)
  3. LALO, Le roi d’Ys : air de Margared (Bruxelles, 1966)
  4. DONIZETTI, La Favorita : récitatif et air de Leonora (Bruxelles, 1966)
  5. VERDI, Aïda : scène et duo de l’acte 2 (Bruxelles, 1954)
  6. Don Carlo : air d’Eboli
  7. C. P. E. BACH, Magnificat : « Suscepit Israël » (Bruxelles, 1964)
  8. MILHAUD, Pacem in Terris : fragments (Bruxelles, 1962)
  9. PROKOFIEV, Alexandre Nevsky : « Le champ des morts » (Charleroi, 1960)
  10. BERLIOZ, Les nuits d’été (Bruxelles, 1965)
  11. La damnation de Faust : « D’amour, l’ardente flamme »

Informations complémentaires

Poids 140 g
Dimensions 12 × 12 cm

1 avis pour Lucienne Delvaux

  1. Jean Lacroix, La Revue Générale

    « Justice est donc enfin rendue, à travers cette anthologie de deux CD, à une remarquable cantatrice qui débuta en région liégeoise, avant de faire les beaux jours de la scène gantoise, notamment dans le répertoire wagnérien. À la Monnaie, où elle est accueillie à partir de 1953, elle chante Verdi, Massenet, Bizet, Saint-Saëns et participe à la création bruxelloise du Dialogue des Carmélites de Poulenc. On la retrouvera aussi en France, en Allemagne, en Suisse, en Autriche et même en Afrique du Nord. Dans la présente production (des airs de Donizetti, Verdi, Lalo, Milhaud, Berlioz, etc.), on pourra (re)découvrir l’étonnante maîtrise vocale de Lucienne Delvaux, grâce à d’excellents documents réalisés à partir des archives personnelles de l’artiste. »

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