Description
Mis très vite en contact avec les problèmes esthétiques imposés par l’émergence de l’atonalité schoenbergienne grâce à son ami Busconi en 1909, Désiré Pâque a voulu rapidement se donner une ligne de conduite dans cette période de profonde instabilité créatrice. Le langage personnel qu’il a voulu défendre sans aucun dogmatisme, il l’a intitulé « l’adjonction constante » et l’a défini en ces mots : « Cette nouvelle façon de bâtir une œuvre musicale consiste, non à employer une ou deux mélodies, mais à multiplier les motifs musicaux. » La preuve dans ces cinq sonates…
- Sonate n°1
- Sonate n°2
- Sonate n°3
- Sonate n°4
- Sonate n°5
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