Marcel Claudel

Airs et Mélodies

16,00

2CD

Marcel Claudel – ténor

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Description

Né à Courcelles en 1900, Marcel Buydens fait des premiers pas remarqués sur les planches du théâtre royal de la Monnaie en 1923. La consécration arrive un peu plus tard, en 1928 : après Lyon et Londres, le ténor est engagé à l’Opéra-Comique de Paris. Il y assurera, grâce à sa technique vocale qui lui permet le passage aisé à la voix de tête, le succès des reprises de l’ancien répertoire comique mais il marquera également de sa présence bon de nombre de créations mondiales. Il enregistrera durant ces années une quarantaine de disques qui lui vaudront un vif succès critique. Ce CD renferme une sélection de ces enregistrements réalisés entre 1929 et 1933.

  1. F.-A. BOIELDIEU, La dame blanche "Viens, gentille dame"
  2. F. HEROLD, Le Pré-aux-clercs "Ô ma tendre amie"
  3. A. ADAM, Si j’étais roi "Un regard de ses yeux"
  4. A. THOMAS, Mignon "Adieu, Mignon"
  5. A. MAILLART, Les dragons de Villars "Ne parle pas"
  6. C. GOUNOD, Mireille "La brise est douce et parfumée" (Germaine Corney , soprano)
  7. C. GOUNOD, Mireille "Le jour se lève"
  8. C. GOUNOD, Mireille "Anges du paradis"
  9. J. OFFENBACH, La belle Hélène "Au mont Ida"
  10. L. DELIBES, Lakmé "Fantaisie aux divins mensonges"
  11. G. BIZET, Les pêcheurs de perles "Je crois entendre encore"
  12. E. AUDRAN, La mascotte "Des courtisans qui passeront"
  13. J. MASSENET, Manon "En fermant les yeux" (Germaine Corney, soprano)
  14. J. MASSENET, Sapho "Qu’il est loin mon pays"
  15. J. MASSENET, Grisélidis " Je suis l’oiseau"
  16. J. MASSENET, Le jongleur de Notre-Dame "Ô liberté, ma mie"
  17. L. VARNEY, Les mousquetaires au couvent "Il serait vrai que ce fut un songe"
  18. R. PLANQUETTE, Les cloches de Corneville "Va, petit mousse"
  19. R. PLANQUETTE, Les cloches de Corneville "Je regardais en l’air"
  20. A. FLEGIER, Le beau rêve
  21. R. DRIGO, Les millions d’Arlequin "Un soir, tout vibrant d’espoir"
  22. G. ROSSINI, "Doux rayons de l’aurore"
  23. G. DONIZETTI, La favorite "Un ange, une femme inconnue"
  24. G. DONIZETTI, La favorite "Ange si pur, que dans un songe"
  25. G. VERDI, Rigoletto "Qu’une belle"
  26. G. PUCCINI, La bohème "Que cette main est froide"
  27. F. LEHAR, Le pays du sourire "Toujours sourire"
  28. F. LEHAR, Le pays du sourire "Je t’ai donné mon cœur"
  29. F. LEHAR, La veuve joyeuse "Viens dans ce joli pavillon"
  30. F. LEHAR, Frasquita "Quand un cœur veut parler le langage d’amour"
  31. F. LEHAR, Frasquita "Ne t’aurais-je qu’une fois"
  32. N. RIMSKI-KORSAKOV, Sadko "Les diamants, chez nous, sont innombrables"
  33. B. SMETANA, La fiancée vendue "Fille cruelle" (Germaine Féraldy, soprano)
  34. A. MESSAGER, Fortunio "Je suis très tendre"
  35. A. MESSAGER, Fortunio "J’aimais la vieille maison grise"
  36. A. MESSAGER, Fortunio "Si vous croyez que je vais dire"
  37. A. MESSAGER, Fortunio "Une angoisse exquise et mortelle"
  38. L. BEYDTS, Moineau "Cette escarpolette a son histoire"
  39. L. BEYDTS, Moineau "L’amour, hélas, ça va, ça vient"
  40. L. FRINGS, Premier rondel
  41. L. FRINGS, Deuxième rondel (Germaine Corney, soprano)
  42. L. FRINGS, Troisième rondel
  43. L. FRINGS, Quatrième ronde (Germaine Corney, soprano)
  44. C. BOREL-CLERC, Joujou

Informations complémentaires

Poids 140 g
Dimensions 12 × 12 cm

2 avis pour Marcel Claudel

  1. X. C., Ópera Actual

    « Las rarezas predominan en los dos discos, todo ello servido por un estilo que suple cierta falta de imaginación con una innegable elegancia y buen gusto en el decir, que no es poco. La edición está hecha con mimo, y se nota. »

  2. Michel Parouty, Diapason

    « Restitutions sonores soignées, livrets riches en informations : rien n’a été négligé pour rendre ces documents essentiels. Le double album consacré à Marcel Claudel sera pour beaucoup une révélation. […] Il est vrai qu’il séduit sans peine par une voix très phonogénique, de volume sans doute limité, mais d’une couleur exceptionnelle, claire, lumineuse. Une voix légère, mais si bien émise qu’il pouvait nuancer dans l’aigu sans détimbrer, et si bien conduite qu’elle lui permit d’aborder jusqu’à Rodolphe de La Bohème de Hoffmann. La netteté de l’élocution paraît miraculeuse, au regard des critères actuels. »

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