Description
Au XIXe siècle, il était d’usage de présenter aux auditeurs les pages les plus brillantes des opéras sous la forme de transcriptions. Wagner n’échappa pas à l’engouement général. Fidèles à cette pratique, plusieurs musiciens belges écrivirent des pièces sur des thèmes wagnériens en prévision ou dans l’espoir de voir montés à la scène les opéras du Maître ou encore simplement parce que cette musique adaptée principalement pour le clavier appelle, par son éclat virtuose, le concert. Pièces de Jean-Louis Gobbaerts, Andrien-François Servais, Eduard Lassen, Jean-Baptistes Singelée et deux transcriptions de Franz Liszt sur deux compositions d’Eduard Lassen.
- Jacques GREGOIR et Adrien-François SERVAIS, 13e duo Lohengrin pour violoncelle et piano
- Jean-Louis GOBBAERTS, L’Anneau du Nibeloung : Siegfried, opus 153 pour piano
- Eduard LASSEN, Lyrische Stücke für eine Gesangstimme aus Tristan und Isolde pour piano à quatre mains : Kurwenals Spottlied
- Eduard LASSEN, Isoldes Erzählung an Brangäne
- Eduard LASSEN, Tristan und Isoldes Liebesduett
- Eduard LASSEN, Tristans Frage an Isolde
- Eduard LASSEN, Isoldes Antwort an Tristan
- Eduard LASSEN, Isoldes Verklärung
- Jean-Baptiste SINGELEE, Tannhäuser, fantaisie brillante pour le violon avec accompagnement de piano, opus 131
- Franz LISZT, Aus der Musik von Eduard Lassen zu Hebbels Nibelungen, pour piano : Hagen und Kriemhild
- Franz LISZT, Bechlarn
Guy Wagner, Pizzicato –
« Wagner chez les Belges est un vrai feuilleton et, par ailleurs, un des plus originaux et intéressants. […] Les musiciens belges nous conduisent de découverte en découverte, et c’est bien là le principal atout de cette publication hors des sentiers battus. En effet, voilà un CD enrichissant et de surcroît bien enregistré ! »